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CONFÉRENCE GESTICULÉE SUR LA CRITIQUE DES MÉDIAS
de et par Philippe MERLANT
Samedi 10 octobre 2020
Auditorium de la Maison du Patrimoine
Saint-Julien-lès-Villas
Le mystère du journalisme jaune
Cette conférence gesticulée a été précédée d’un atelier participatif à partir de nos expériences personnelles.
Sur les traces de Joseph Rouletabille, Philippe Merlant part élucider ce très grand et très curieux mystère : « Pourquoi les médias sont-ils si souvent du côté du manche, du côté du pouvoir, du côté des puissants ? » Une enquête de l’intérieur, nourrie par quarante ans d’exercice du métier de journaliste. Et une invitation à trouver des pistes pour réconcilier information et démocratie.
Journaliste professionnel pendant plus de 40 ans, Philippe Merlant a exercé dans de nombreuses rédactions ( de Radio France à La Vie en passant par L’Équipe, Libération, Autrement,L’Entreprise, Défis, L’Expansion, Transversales Science Culture ). Il tente depuis une vingtaine d’années de concilier sa pratique professionnelle avec un travail de réflexion sur cette question : « peut-on réconcilier les médias avec la démocratie ? » Ceci l’a conduit à co-écrire avec Luc Chatel « Médias : la faillite d’un contre-pouvoir » (Fayard, 2009).
De 2009 à 2012, il a créé, puis coordonné Reporter citoyen, formation gratuite au journalisme multimédia pour les jeunes des quartiers populaires, puis il est devenu formateur à l’Ecole des métiers de l’information. Et il est, tout naturellement, devenu « gesticulant »… De 2016 à 2019, il a été journaliste « en résidence » dans les quartiers populaires de Valenton et Villeneuve-Saint-Georges (94). Il mène aujourd’hui de nombreux ateliers d’éducation populaire aux médias, surtout dans les quartiers populaires. Début 2020, il a intégré l’équipe de L’ardeur
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« Les Jours heureux » sont le véritable horizon d’un programme politique
Il y a peu de chances que les médias dominants fassent grand bruit au sujet de cette initiative. Elle a donc toute sa place dans les relais de LÉclairCit.
Le premier Conseil national de la Nouvelle Résistance (CNNR) est né. En plus de la vidéo de présentation ci-dessus, vous pourrez trouver davantage de détails sur le site de REPORTERRE.
Le CNNR est composé de dix femmes et de dix hommes :
. Anne Beaumanoir (coprésidente d’honneur), Juste et résistante . Claude Alphandéry, (coprésident d’honneur), résistant . Dominique Méda, professeure de sociologie . Dominique Bourg, philosophe, professeur honoraire à l’Université de Lausanne . Samuel Churin, comédien (coordination des intermittents et des précaires) . Danièle Linhart, sociologue du travail . Sabrina Ali Benali, médecin et militante . Pablo Servigne, auteur et conférencier spécialiste des questions de transition écologique . Olivier Favereau, professeur émérite de sciences économiques à l’université Paris-Nanterre . Yannick Kergoat, monteur-réalisateur . Jean-Marie Harribey, économiste, maître de conférence, membre des Économistes atterrés . Anne Eydoux, maîtresse de conférence au Cnam, membre des Économistes atterrés . Dominique Rousseau, professeur de droit constitutionnel à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne . Pauline Londeix, ex-vice-présidente d’Act Up-Paris, cofondatrice de l’Observatoire de la transparence dans les politiques du médicament . Antoine Comte, avocat à Paris . Véronique Decker, enseignante et directrice d’école, syndicaliste et militante pédagogique . Fatima Ouassak, politologue, porte-parole du syndicat Front de mères . Anne-Claire Rafflegeau, infirmière et porte-parole du collectif inter-urgences . Clotilde Bato, présidente de Notre Affaire à tous, déléguée générale chez SOL Alternatives agroécologiques et solidaires . Benoît Piédallu, membre de La Quadrature du Net
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Tout est dans le titre
Le journaliste Marc Endeweld qui travaille, entre autres, pour la chaîne indépendante LEMEDIATV.fr a mené une enquête qui révèle l’existence d’une caisse noire et d’un parfum de corruption chez ADP.
Alors que les médias dominants et que les chiens de garde restent muets sur ce sujet, nous ne pouvons que relayer cette information et vous inviter à visionner l’émission que «Le Média» a diffusé en direct hier soir jeudi 13 février.
Résumé
Adoptée en avril 2019, la loi pour “la croissance et la transformation des entreprises” a ouvert la voie à la privatisation d’Aéroports de Paris (ADP). La revente de ses parts par l’État détenteur de plus de 50% des actions n’est pourtant pas de l’humeur de tout le monde.
L’opposition parlementaire a lancé en mai 2019 un référendum d’initiative partagée (RIP) devant attendre 4,7 millions de votes nécessaires à l’organisation d’un référendum. Alors que la procédure en ligne est ouverte jusqu’à mi-mars 2020, celle-ci n’a récolté qu’un peu plus d’un million de votes qui ne suffiront pas à stopper le projet de vente de l’aéroport.
L’enquête de Marc Endeweld peut-elle remettre en cause la privatisation ?
Pour tenter de répondre à cette question et revenir sur la privatisation et sur les suites à donner aux révélation de Marc Endeweld pour Le Média, Denis Robert et Marc Endeweld en débattent avec Isabelle This Saint Jean, Éric Coquerel et Daniel Bertone (Secrétaire général CGT d’ADP).
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Macron, l’exfiltré
C’est le titre de l’article publié ce 18 janvier par le média en ligne Là-bas si j’y suis.
Quand le théâtre est dans la rue
Comment faire sortir le théâtre du cercle étroit des initiés ? Comment atteindre le grand public avec des pièces qui le concernent et des mises en scènes qui le touchent ? À ces questions mille fois posées dans le monde de la culture, le spectacle donné hier soir au théâtre des Bouffes du Nord a apporté une réponse éclatante.
En voici le déroulement
Un couple présidentiel vient assister incognito à une pièce de théâtre contemporain. Assis trois rangs derrière, un jeune journaliste français assiste au spectacle. Avant le lever du rideau, ce jeune homme fait un tweet sur son portable : « Je suis actuellement au théâtre des Bouffes du Nord, trois rangées derrière le président de la République. Des militants sont quelque part dans le coin et appellent tout le monde à rappliquer. Quelque chose se prépare… la soirée risque d’être mouvementée ». Ce jeune homme c’est Taha Bouhafs, journaliste à Là-bas si j’y suis. C’est aussi le journaliste qui avait filmé Alexandre Benalla en train de violenter les manifestants place de la Contrescarpe à Paris. Les médias dominants ont relayé cette info en parlant de Taha sans mentionner, dans la plupart des cas, le fait qu’il soit journaliste ou bien alors, en y accolant le terme « militant », comme ce fut le cas ce matin sur France Inter. Bizarre tout de même ce souci du détail, alors qu’il ne vient jamais à l’esprit de Léa Salamé ou de Nicolas Demorand d’introduire chaque matin la chronique de Dominique Seux en le présentant comme journaliste militant. C’est pourtant bien à ça qu’on a droit chaque matin sur l’antenne de service public. Lire la suite en cliquant ICI
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LÉclairCit vous propose pour ce début d’année une conférence gesticulée
FAIM DE VIE
Cliquer sur l’image pour accéder au formulaire de réservation
Cette conférence gesticulée a été écrite par Brigitte Grisar et Jacques Esnault. Brigitte Grisar est chargée de projet à la concertation aide alimentaire, au sein de la FdSS (Fédération des Services Sociaux) en Belgique. Tous deux font partie du « Collectif 1984 » qui est une compagnie de théâtre-action. Nous les avons déjà fait venir à deux reprises pour deux pièces de théâtre
Le 25/02/2017 pour leur pièce intitulée « La jolie valse des emplois »
Le 1/12/2018 pour la pièce intitulée « Les 4 vérités »
Nous avons également fait venir Jacques Esnault le 8 juin 2018 pour sa conférence gesticulée autour de Mai 68 et de ses chansons.
LE PROPOS
En 2019, en Belgique, des milliers de personnes ne mangent pas à leur faim, en France, 7ème puissance économique mondiale, une personne sur cinq ne mange pas à sa faim et dans le monde, ce sont 800 millions de personnes qui sont sous-alimentées.
Comment est-ce possible ? Quelles injustices permettent cela ? Qui est responsable ? On parle de précarité alimentaire, d’aide humanitaire… et nous sommes au 21ème siècle ! Que s’est-il passé ? Qu’est-ce qui se passe ?
Et si la faim n’était pas un phénomène naturel, ce serait quoi ? Une ineptie ? Un coup monté ? Une volonté des plus forts ?
Et si nous avions surtout faim de vie ?
Si nous avions soif de liens ?
Si nous étions gourmands de collectifs ?
Cette conférence est un menu varié, composé d’ingrédients d’origines diverses : capitalisme décomplexé, pauvreté alimentaire, précarité… le tout agrémenté de savoureux instants présents.
L’an dernier LÉclairCit avait fait venir Aline Farès pour sa conférence gesticulée intitulée «Chroniques d’une ex-banquière». Cette année nous avons fait appel à l’historien Gérard Noiriel que vous pouvez écouter lors de son dernier passage à France Culture.
Nos ancêtres les migrants
Samedi 12 octobre à la Maison du Patrimoine à Saint Julien lès Villas
Accueil du public à partir de 19h autour d’une buvette. Conférence à 20h.
L’entrée est à tarif libre, car nous souhaitons que chacune et chacun puisse contribuer comme il(elle) le souhaite à soutenir nos initiatives qui représentent des engagements financiers non négligeables pour une association, certes ambitieuse, mais modeste telle que la nôtre.
Le propos est de rappeler que les migrations ont été une dimension essentielle de notre histoire commune et un facteur fondamental dans le progrès des civilisations.
La conférence accorde aussi une place importante aux bouleversements qui se sont produits au 20ème siècle en raison de la nationalisation des sociétés ; durcissement des frontières, papiers d’identité, montée des discours xénophobes et racistes…
La conférence fait passer des connaissances de façon ludique avec des dialogues, du jeu, des marionnettes, des chansons et l’utilisation d’images d’archives.
Quelques analyses et chiffres pour démonter les idées reçues
La revue REGARDS publie ce 7 octobre , sous la plume de Roger Martelli, une analyse et une présentation détaillées sur l’immigration.
Drame national. Souscription nationale. Union nationale avec les milliardaires. Breaking news après breaking news, Macron reprend de la hauteur, la famille Pineau repeint son image, les médias retrouvent de l’audience, l’hexagone retient son souffle, en état de choc.
LARMES DE PHARAONS
Au moment même où le pouvoir était sur la sellette, alors que les renseignements évoquaient la radicalisation de l’opinion et un risque insurrectionnel recrudescent, alors que le printemps ne faisait que commencer, cet incendie surgit comme un miracle.
La flèche de Notre-Dame est tombée à pic et son incendie va continuer à nous enfumer pour quelques jours encore.
Le temps qu’on se rappelle, à tête reposée, que personne n’est mort, que l’argent ne manque pas pour reconstruire à l’identique le monument, que ce sont des choses qui arrivent et qu’elles sont parfaitement réparables, jusqu’au moindre détail, contrairement aux millions de vies saccagées et détruites par ce même pouvoir et ces mêmes milliardaires qui feignent de gémir en chœur avec nous.
Une fois de plus, nos existences sont détournées de leur préoccupation première : vivre libres et égaux, incrédules et heureux, sans plus jamais mettre un genou à terre.
Une fois de plus, les divertissements les plus abrutissants s’éclipsent quelques heures pour laisser place à une autre forme de diversion, plus insidieuse encore. Celle qui nous fait croire que nous avons une tristesse et un objectif en commun avec ceux qui prétendent nous gouverner et ceux qui accumulent des profits colossaux sur notre dos.
Tous les incendies du monde n’y feront rien. Qu’importe l’ampleur des catastrophes, elles ne sont pas grand chose devant la première de toutes : l’apocalypse capitaliste qui sévit sur toute la surface de la Terre et la domination quotidienne que nous subissons.
Non, l’enfer n’est pas sous Terre, mais bien ici. Et le paradis, ne s’atteindra pas dans une quelconque soumission à des prélats ou à des hommes providentiels, mais dans la lutte incrédule et inlassable contre toutes les formes de dominations et d’exploitation.
Vous qui pleurez, braves gens, vous pleurez en réalité l’une des innombrables constructions pharaoniques du pouvoir politique, économique et religieux : chantiers qui ont coûté la vie à des millions d’ouvriers et d’esclaves depuis des millénaires, alors même que la plèbe épuisée manquait partout de pain et de toits où s’abriter.
Vous qui pleurez, braves gens, vous oubliez, derrière ces ouvrages, les innombrables victimes des religions : femmes, hommes et enfants, pseudo sorcières et libres penseurs, sédentaires et voyageurs, artistes et chercheurs, impies et égalitaires, libertins et libertaires, de dénonciations en rafles et de tortures en bûchers.
Vous rendez hommage au gigantisme clérical qui produisait, et produit encore, autant de chantiers que de charniers.
Vous occultez toutes celles et ceux qui trouvaient la mort, à quelques jets de pierres des églises en construction, seulement parce qu’ils/elles voulaient vivre autrement.
Vous ne voyez pas, derrière la lumière du vitrail, l’ombre d’un des pires obscurantismes de l’Histoire.
Que les pharaons d’aujourd’hui veuillent nous faire pleurer sur l’un des monuments gigantesques commandés par leurs prédécesseurs, c’est tout à fait logique.
Mais que nous tombions dans le panneau, nous qui voulons sortir de cet enfer qui n’en finit pas, c’est bien dommage.
Prenons garde aux larmes des pharaons.
Yannis Youlountas
Entreprises et grandes fortunes sortent le chéquier pour reconstruire Notre-Dame. Cliquez sur l’image pour les détails.
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Les deux présentateurs vedettes de la matinale de France Inter, Léa Salamé et Nicolas Demorand, un « partenariat de l’intelligence » selon la directrice de la station
«Qu’ils se servent de leurs armes une bonne fois ! » C’est à Luc Ferry que reviendra le mérite d’avoir lancé le mot d’ordre désespéré d’une oligarchie prise de panique devant le soulèvement des « gilets jaunes ». Mais les forces de l’ordre ne sont pas seulement policières, il y a aussi des forces de l’ordre intellectuelles et médiatiques, au moins aussi violentes et qui s’exercent sans le moindre risque, en toute impunité.
Mardi 12 février, le journal de 8 heures de France Inter, présenté par Laurence Thomas, annonce en premier titre « la hausse spectaculaire des actes antisémites en France, + 74 % en 2018 ».
Si l’on est révolté par toute forme de racisme, on écoutera le sujet
avec beaucoup d’attention. Et l’on constatera, non sans surprise, qu’il
s’agit en réalité d’un reportage sur l’antisémitisme et le mouvement des
« gilets jaunes ».
On sait qu’il peut arriver à un certain journalisme de l’à-peu-près
de se contenter d’insinuations sans jamais que l’auteur ne se sente
obligé d’étayer son propos. Ce qui est dit doit alors être tenu pour
vrai, et l’auditeur auquel on présente des analyses et des accusations
explicites – si graves soient-elles – n’a pas à attendre la moindre
preuve ou le moindre élément à charge : il devra juste croire sur
parole. L’ouverture du journal de 8 heures ce matin-là sur France Inter
est un cas d’école en la matière.
Sauf, malgré tout, quand un auditeur prend le temps d’analyser une tranche d’info. Il met alors en évidence la pratique de l’insinuation et de l’amalgame confusionnel qui vise à accuser les « gilets jaunes » d’antisémitisme, sans la moindre preuve. Utiliser cette arme revient à banaliser l’antisémitisme et donc à banaliser les actes antisémites.
Pour lire le texte intégral du décryptage qu’Olive Laporte a adressé à « Là-bas si j’y suis » c’est ici et réservé aux abonnés, mais bon, n’est-ce pas le moment de soutenir les médias libres ?
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ILS VIDENT… LÉGALEMENT LES CAISSES DE L’ÉTAT !
Cliquer sur l’image pour accéder à davantage d’informations et une vidéo
Le nouveau film de Gilles Balbastre (réalisateur des nouveaux chiens de garde), Ceux qui tiennent la laisse, n’aura pas d’écho dans les médias dominants. Alors, pour financer Ceux qui tiennent la laisse, une campagne de financement participatif a été lancée.
Il ne reste plus que 22 jours pour aider à la réalisation du projet
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ou : QUAND LES MÉDIAS VEULENT LE BUZZ ET L’ARGENT DU BUZZ !
Samedi 1er décembre à 20h30 centre culturel Didier Bienaimé La Chapelle Saint Luc
« Les 4 vérités » est un spectacle de l’atelier « Pas dupes ! », du Collectif 1984. Cette création collective s’est déroulée d’octobre 2017 à juin 2018. La mise en scène est de Jacques Esnault, assisté de Brigitte Grisar. Distribution : Brigitte Grisar, Lara Soenens, Tony Musu, Jaime Cevallos, Christophe Barbieux.
Si vous avez eu la chance de voir la précédente pièce du collectif 1984 « La jolie valse des emplois », ne manquez pas cette nouvelle occasion de passer un moment de théâtre très vivant et drôle.
Note d’intention
Les médias n’arrêtent pas de nous parler de scandales financiers, alimentaires, judiciaires… A tel point qu’on trouverait ça normal.
Enfin presque !
Parce qu’il ne faut pas nous prendre pour des prunes, non plus !
Le spectacle dénonce le monde du pouvoir, et ses rapports interpersonnels hypocrites, ses règlements de compte, ses dérives comportementales…
Pas de leçon de morale, juste un cri : arrêtez de nous duper !
La vidéo ci-dessous propose quelques extraits choisis.
Tarifs et Réservations
Le tarif plein est de 9€ et le tarif réduit de 6€. Le tarif réduit est accordé dans les cas suivants :
demandeurs(ses) d’emploi,
étudiants(es),
moins de 18 ans,
volontaires en service civique,
plus de 70 ans,
bénéficiaires de minima sociaux,
personnes handicapées
Toutefois, nous rappelons que LÉclairCit n’est pas une organisation professionnelle de spectacles, mais simplement une association « loi 1901 » animée par un petit groupe de bénévoles dont l’intention est de promouvoir ou de proposer des événements culturels, documentaires ou informatifs s’inscrivant dans l’éducation populaire.
De ce fait notre objectif n’est pas de dégager des bénéfices, mais d’équilibrer chaque budget correspondant aux événements que nous organisons. Tous ces événements entraînent des frais pour lesquels nous ne disposons pas de ressources propres. Nous ne pouvons donc compter que sur toutes et celles et ceux qui soutiennent nos projets en participant à nos rendez-vous et parfois en adhérant ou en faisant un don à notre association. Bien entendu, nous sommes bien conscients et comprenons que chacun(e) fait selon ses moyens, car les temps sont durs.
Le placement est libre dans la salle, il est donc prudent d’arriver un peu en avance ou de réserver votre place à l’avance (voir plus bas) si vous souhaitez pouvoir choisir votre place.
La billetterie pour cette pièce sera ouverte le jour de la représentation à l’accueil du centre culturel à partir de 20h. Toutefois, si vous souhaitez dès maintenant réserver votre place, vous pouvez compléter le formulaire ci-dessous et nous prendrons contact avec vous pour vous indiquer la suite de la démarche. Vous pourrez alors retirer votre place directement auprès de nous sans avoir à suivre la file d’attente.
FORMULAIRE DE RÉSERVATION
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Des Éclaireurs Citoyens pour moins de bruit et davantage de lumière